ERREUR FATALE – 29/31 … !!!

Liberté, mais vengeance !

Au-dessus de lui, il entend la croisée se fermer.

Courbé en deux en longeant le mur, il regagne la berge. Tant bien que mal, s’essuie les pieds avec un mouchoir en papier, puis rechausse ses fumantes et ses godasses. Sans bruit, il traverse le jardin, remonte la sente jusqu’au portail de la propriété, et se camoufle à l’extérieur de la propriété dans un buisson, hélas épineux !

De sa cachette, il peut voir les bâtisses, ainsi qu’une grande partie des jardins. Léonard et Georges ne tardent pas à apparaître. Il sort un de ses deux flingues et vise la tronche de Braqueux. Impossible d’appuyer sur la détente, comme ça, de sang-froid ! Non, il ne peut pas ! De toute façon, ces deux enfoirés partent pour Chartres. Pendant ce temps, il aura le temps de délivrer sa gazelle. Et après il verra bien !

Sans doute télécommandé, le portail s’ouvre lentement. Léonard a sorti la jaguar. Tassart y monte, tandis que son homme de main, délaissant la caisse, se dirige vers un bâtiment sur la droite. Avec une clef qu’il sort de sa poche, il ouvre une étroite porte basse, puis pénètre par l’ouverture. Une minute plus tard, un cri déchire le silence. C’est un hurlement aigu, de femme. Une idée traverse son esprit :

– «Le salaud ! Il tourmente ma sarcelle. Je vais le buter !»

Il se précipite vers le portail l’arme au poing, ou plutôt, tente de se précipiter, car une ronce amoureuse enlace sa cheville et le retient cruellement. Perdant l’équilibre, il s’étale de tout son long dans les orties. Heureusement, la terre et les herbes humides étouffent les bruits. Sa chute n’a alerté personne, et, à plat ventre, au travers des feuilles urticantes qui lui titillent désagréablement les joues, il aperçoit Léonard qui réapparaît.

Hilare, il referme la porte à clef, en tirant sur un mégot.

– «Pourquoi a-t-elle hurlé ?» Demande Tassart.

– «C’est une douillette,» rigole Braqueux, «juste une minuscule brûlure de cigarette sur un nibar ! Ça promet ! Si pour une petite gâterie de rien du tout, elle se met à braire ! Qu’est-ce que ça va être, quand j’vais la cajoler sérieusement !»

– «Léonard ! Il n’est pas question qu’elle ameute tous les environs.»

– «Non ! Ne vous en faites pas patron. J’commencerai par lui coudre les lèvres avec du p’tit fil de fer et si elle veut beugler, faudra d’abord qu’elle s’arrache la gueule. J’crois qu’avec cette morue, j’vais réaliser un chef-d’œuvre, patron. J’vais lui sculpter la viande, en faire un haut relief dans les rouges vifs, une statue palpitante espérant la mort !»

– «Dans le fond, tu es un artiste, Léonard !»

– «Ouais patron ! Mais moi, j’fais dans l’art éphémère !»

– «C’est toi qui va être éphémère Ducon !» Pensait Jacky toujours tapis dans les orties !

En regardant cet enfoiré grimper dans la bagnole, il attend qu’ils se tirent tout en pensant délivrer sa gélinotte et foncer directement chez les flics.

La berline démarre, franchit le portail qui se referme automatiquement, prend la direction de Chartres et disparaît.

Oppressant, le silence retombe sur la campagne. Il a froid et pense à Meg, seule, enchaînée « in naturalibus » depuis hier soir. Une fois dépêtré de son amoureuse ronce, dont la passion ardente ne manquait pas de piquant, il se dirigea vers l’imposante tour se dressant à l’entrée de la propriété. L’escalade se fit sans trop de difficultés. A califourchon au faîte du portail, un coup d’œil circulaire le rassura quant à la non-présence d’indésirables ! Il sauta dans la cour de la propriété, et se précipita vers la dépendance. Hélas, comme il le craignait, la petite porte basse défendant l’accès de la bâtisse, était fermée à double tour. Un examen succinct de la lourde, le convainquit immédiatement, que le bois qui la constituait était loin d’être vermoulu. Apparemment elle était de bonne facture, cette occlusion cadenassée. Les impacts, nécessaires à la reddition de l’huis, auraient plutôt fait voler ses os en éclats que le verrou. Il fit le tour de la ratière dans l’espoir de découvrir une autre issue. Mais l’entrée était unique, et les fenêtres gardées par des barreaux. Un vent de panique soufflait sous son crâne déserté par les idées. Soudain, son regard accrocha une bêche isolée. Plantée au beau milieu d’un massif fraîchement retourné, elle se dressait, verticale, fière comme une saillie fécondant une terre avide de nouvelles plantations. Il s’emparait de l’outil, et insérant son fer entre porte et chambranle, il exerçait une forte pression sur son manche. Pied-de-biche de fortune, le solide ustensile se prêta de bonne grâce à cette irrationnelle utilisation. Laissant échapper une sinistre plainte, la porte domptée, céda et s’ouvrit. Il entra, et il se retrouva au bord d’un escalier s’enfonçant vers des profondeurs, qu’il se proposait d’explorer.

Au pied d’une dizaine de marches, une immense pièce, à peine éclairée par de petites fenêtres situées en hauteur, abritait l’âme du moulin. Sur une table de pierre, une énorme meule en grès reliée à une gigantesque roue à aube par l’intermédiaire de puissants pignons en bois, attendait, immobile, du grain à moudre ou des corps à broyer. Près de la «concasseuse» à blé, du plafond tombait une chaîne. Au bout de cette chaîne, accrochée au dernier maillon, un collier d’acier enserrait le cou de sa musaraigne. Le nombre d’anneaux ne permettait à Meg, qu’une station debout ou couchée. En la regardant, son cœur se serra. Frêle et pitoyable comme un animal à la longe, elle était nue, sur le flanc, la tête légèrement inclinée.  Un bras couvrait ses seins et recroquevillée, ses genoux protégeaient son ventre. D’une pâleur bleutée, son corps marbré par la froidure, tremblait. Ses yeux, troublés par la fatigue et les larmes, devinèrent une présence, mais ne la reconnut pas. Un frisson, plus violent que les autres, déferla sur ses muscles. Un hoquet souleva sa poitrine. Frémissantes, ses lèvres remuèrent ne laissant échapper aucun son. Puis, faiblement, tout en reniflant, presque entre chaque mot :

– «Vous êtes des ordures, des salauds ! Vous pouvez me tuer ! J’m’en fiche. Mon Eddy vous aura.»

Son Eddy ! Des fois c’est bon de se sentir appartenir à quelqu’un ! D’un ton qu’il aurait voulu plus ferme, il répondit :

– «Bravache ! Tu t’en fiches ! Ton Eddy les aura. C’est beau la confiance, mais pour le moment, ton Eddy, il va surtout essayer de te sortir de là !»

Elle sursauta, priant sans doute de toutes ses dernières forces, pour l’abolition des mirages auditifs. Afin de mieux toucher des yeux cette voix familière, ses mains sautèrent à ses prunelles pour en balayer les larmes d’émotion. Elle l’identifia, alors qu’il l’accostait et s’amarrant à elle. Il la relevait. De toute sa vie, il ne me souvient pas d’un tel accueil. Elle lui fit fête, comme un chiot égaré retrouvant cette odeur familière et aimée. Elle lui sauta au cou en se soudant à lui ! Ses doigts redécouvraient son dos, ses bras, son visage et sa bouche. Refaçonnait son front, son nez, ses paupières ! Elle le léchait, le sentait, son être réapprenait son corps. Ses dents mordaient leurs lèvres, les mêlant dans la fade tiédeur du sang. Il lui fallait cette tendre douleur, pour preuve de cet instant. Cette frénésie charnelle passée, elle s’effondra, laissant vivre sa peur. Lui, ne sachant que faire, lui parlait, la frictionnait !

– «Calme-toi, musaraigne, reprends-toi. Il faut partir.»

Ses jambes la portèrent de nouveau, ses mains cherchant appui s’accrochaient à sa taille. Ses ongles s’enfonçaient dans sa chair. Son nez gluant s’aventurait timidement dans son oreille. Ses dents aiguës marquaient délicieusement son cou. Il ne saurait dire combien de temps dura cette étreinte…Cinq ? Dix minutes ? Durant lesquelles elle essaya de se cacher en lui !

– «Meg ! Il faut partir !»

En vain, il répéta cette phrase dix fois, vingt fois, sans qu’elle ne réagisse. Quand finalement elle sépara leurs corps siamois, il put enfin examiner son collier. La chaîne était rustique, et par chance, le cadenas qui fermait le carcan l’était aussi. La pointe de son laguiole eut tôt fait de délivrer son cou gracile.

– «Où ont-ils foutu tes fringues ?» Demanda Jacky à sa frigorifiée.

– « Je ne sais pas » Grelotta-t-elle «  En tout cas elles ne sont pas ici. »

Meg tremblait de plus en plus. Il défit sa veste et son pull et les lui offrait. Prestement, elle les enfila. Le tableau qu’elle offrait, le haut couvert et le bas à l’air, aurait pu, en d’autres circonstances, être d’un érotisme fou, mais son claquement de dents, ajouté aux deux guiboles, nues et pâlottes, qui tombaient d’un blaser trop large pour elle, rendait la scène tragi-comique. Il lui filait son futal et ses chaussettes, en pensant à son adolescence et aux mises en garde de ma mère :

– «Fait attention Jacky, avec les filles on a vite fait d’y laisser sa chemise».

Elle avait tort sa môman, sa liquette, il l’a encore ! C’est vrai qu’à part sa limace, ses pompes et son calbar, il ne lui reste plus grand chose, mais pour une gonzesse pareille, il donnerait son âme et même davantage ! Tout en la frottant sur toutes les coutures, il se disait qu’il ne faisait vraiment pas chaud. De la voir attifée de la sorte, elle lui faisait penser au Kid. Lui avait l’air d’un Charlot. Dans chacune des poches de son ex veste, somnolait un flingue. Il en récupéra un et laissa l’autre à sa gosse des rues.

– «Bon, allez Meg ! On y va ! Dans le coffre de ma bagnole, je dois avoir un vieux bleu de travail. Je m’en vêts et on fonce chez les gendarmes.»

– «Çà ! Ça m’étonnerait mes lascars. retentit une voix derrière lui. Surpris, il se retourne d’un bloc. Meg, qui bien que faisant face aux deux arrivants ne les a pas vu entrer, n’hésite pas un quart de seconde. Elle en a trop bavé pour faire des cadeaux ou pour palabrer. L’heure n’est plus aux négociations, mais plutôt aux règlements de comptes. Sans sommation, elle sort sa pétoire et défouraille à tout va en direction de Braqueux et Tassart. Les deux fripouilles ne restent pas sans voix et, illico presto, ouvrent le bal à leur tour.

La fusillade est de courte durée ! A six, sept mètres les uns des autres, malgré la faible lumière, ils ne peuvent pas se louper indéfiniment. A peine cinq secondes après le début des hostilités, tout le monde est par terre, plus ou moins perforé par les plombs adverses. Même Jacky, qui somme toute n’a pas eu le temps de dégainer, a morflé d’un projectile brûlant dans le bras droit. Meg est allongée près de lui, et se tient la cuisse en grimaçant. Le pantalon tout neuf, qu’il venait juste de lui prêter, est maintenant agrémenté d’un trou, d’où sort un liquide rougeâtre qui ressemble à du sang. Du coté de Léonard et de Georges, ça joue plutôt les gisants ! C’est vrai que Meg a tiré la première et qu’elle y a mis tout son cœur ! Le chargeur y est passé et une bonne fée guidait les bastos. Il ajuste son revolver dans sa main gauche et tout en surveillant leurs vieux amis :

– «Ça va Meg ?»

– «Ça pourrait être pire. J’ai pris une prune dans la cuisse. La blessure n’a pas l’air de saigner beaucoup, je ne pense pas que l’os soit touché. Et toi ? Le bilan ?»

– «Le bras droit, mais pas trop grave apparemment.»

Tout en les maintenant en respect avec leurs armes, Meg et Jacky, rampaient vers les deux truands. Pour eux, la situation est plus catastrophique.

Tassart geint en se tenant le bide ! Derrière ses pognes, du côté de ses tripes, ça gargouille vachement. De plus, il a l’air de méchamment souffrir. Son regard est presque déjà dans le vague. Sentant leur proche présence, il tourne son visage vers eux et dans un douloureux effort !

– «Pou … pourquoi ?»

– «Pourquoi, quoi ?» Rétorque sa tireuse d’élite en engageant le dialogue avec le beau Georges, pendant qu’il récupère les armes de ces messieurs.

– «Pourquoi … vous accrochez-vous à … mes basques ? L’histoire, rue … Estrapade ?»

– «Pas seulement !»

-«Quoi … alors ?»

– «Qui a balancé Jean Klockh dans le canal Saint Martin ? Et pourquoi ?»

– «Jean Klockh ?»

– «Oui !»

– «J’connais … pas.»

– «C’était un détective qui s’occupait de l’affaire de la rue de l’Estrapade. Il cherchait qui avait buté Ghislaine de Maragne et Dominique Dufour, à la place de Jacques Looser.»

– «T’en sais … des choses.»

– «N’est-ce pas ? Alors Jean Klockh ?»

– «Klockh … connais pas ! C’est pas moi … ni mes hommes.»

– «Pas toi ? Dommage ! Comme Ghislaine et Domino, tu vas crever pour rien ! Tu as mal Tassart ?»

– «Ouais !» Grince-t-il. «Je jongle … sévère !»

– «Ben tu vois Tassart ! C’est la première fois que tu dis quelque chose qui me fait plaisir ! Si j’étais un mec, je crois bien que j’aurais une petite érection ! Tu es en train de glisser, Tassart ! Bientôt, tu seras sous une pierre. Tu verras, il fait vachement froid dans les cimetières, surtout pendant les mois d’hiver, et puis il fait noir dans un cercueil, c’est humide et on est seul. Tu arrives au bout Tassart, mais j’espère que dans son infinie bonté, Dieu va te faire jouir encore une heure ou deux.»

– «Salo … pe.»

Ce fut la dernière parole du beau Georges. Dieu n’aime pas voir souffrir les siens !

Elle se requinquait sa gélinotte. Filer l’extrême onction à ces ordures, lui donnait du baume au cœur, la réchauffait. Elle sentait à peine sa blessure. Son premier jouet étant cassé, elle se rabattit sur Braqueux. Léonard était allongé, complètement immobile. Il n’avait pas l’air d’avoir mal, mais seuls ses yeux donnaient signe de vie.

– «T’as bloqué une balle dans la colonne vertébrale ?» S’enquit-elle auprès du paralysé. «T’as également perdu ta langue ? Il faut le dire, si ta colonne est touchée, esquintée, pour te déplacer, il faut prendre des précautions. Par exemple, il ne faut pas faire ça.» Explique-t-elle en prenant délicatement la tête de Braqueux entre ses mains, puis en lui imprimant de brusques mouvements de rotation alternés, de droite à gauche et de gauche à droite. «T’es devenu un légume.» Reprit-elle. «Tu vas passer le reste de ta vie, en tête à tête avec le lustre de ta chambre. Ton présent et ton avenir c’est un plafond blanc de trois mètres sur quatre. T’en connaîtras par cœur toutes les fissures, toutes les taches. Quand une mouche viendra se poser sur ton univers de douze mètres carrés, pour toi ce sera jour de fête. Enfin une visite ! Ça se gâtera bien un peu, quand elle viendra narguer l’immobilité de ton inutile visage, et qu’elle se baladera, à pieds, sur tes lèvres. Tu la verras de très près, quand sa trompe pompera tes larmes, et que son cul déposera ses œufs dans tes yeux. Puis, elle ira bien faire un petit tour dans tes narines, si elles ne sont pas bouchées ! Car c’est fini, tu ne pourras plus jamais te moucher. Tiens ! Ton entrejambe est mouillé ! Tu t’es pissé dessus, sans t’en apercevoir. Tu ne contrôles plus ta vessie, Léonard, et d’ici une petite heure, tu vas bien chier dans ton froc ! Ton trou de balle aussi t’est devenu étranger. Tu vas vivre comme une merde dans ta merde, Braqueux. J’espère seulement que tu n’as pas perdu l’odorat !»

Elle stoppa sa tirade. Non pas qu’elle fût à court d’images pour remonter le moral du Léonard, mais parce qu’elle se sentit soudainement lasse.

– «Eddy, j’ai comme des vertiges.» Balbutia-t-elle. «Emmène-moi loin d’ici.»

– «Il faut que tu ailles à l’hosto. Tu as perdu pas mal de sang. Ne bouge pas, je vais essayer de trouver un téléphone pour appeler les flics.»

– «Non ! Tu ne me laisses pas seule avec ces deux monstres !» Hurla-t-elle péremptoire, en s’accrochant à sa jambe ! «Non Eddy, s’il te plaît, emmène-moi.»

Après ce qu’elle avait vécu, il la comprenait. Ce ne fut pas très pratique. Elle avec sa patte folle et lui avec mon bras esquinté, ils formaient un beau couple ! Elle ne put avancer qu’en sautant à cloche pied, les secousses se propageant dans sa jambe blessée, la faisaient trop souffrir. Il dut la porter. Il la coucha sur mon épaule gauche et gravit, péniblement, la volée de marches qui les conduisit à l’air libre. Dans la cour, la jaguar des deux comiques attendait patiemment, mais, inutilement, le retour de ses maîtres. Il déposa Meg sur la banquette arrière, sans égard pour le cuir couleur crème, que sa sarcelle teinta de son sang.

A suivre …

Auteur/autrice : ZAZA-RAMBETTE

Une bête à corne née un 13 AVRIL 1952 Maman et Mère-Grand...! Vous trouverez ici : humour de bon matin, sagas historiques sur ma Bretagne, des contes et légendes, des nouvelles et poèmes, de très belles photographies de paysages et d’animaux, de la musique (une petite préférence pour la musique celte), des articles culturels, et de temps en temps quelques coups de gueules...! Tous droits réservés ©

27 réflexions sur « ERREUR FATALE – 29/31 … !!! »

  1. Bonjour ma douce amie Zaza
    Désolée pour ce copier-coller : Tout d’abord je tiens à te présenter tous mes meilleurs vœux pour 2017 et surtout une bonne santé.
    Vous me manquiez trop toutes et tous sur la blogosphère et me voilà de retour (plus tôt que prévu) après une longue pause blogo et c’est avec un immense plaisir que je viens dans le bel univers de ton blog.
    Je t’informe également que j’ai créé un nouveau blog et dorénavant je n’aurai plus qu’un seul blog à gérer, car je ne m’en sortais plus avec deux blogs actifs, mais je laisse toujours en ligne mes blogs simplement n’y postant plus d’article j’ai désactivé les commentaires et ce sera seulement sur ce nouveau blog qu’il faudra commenter dont je t’en mets le lien :
    http://beautirocher.canalblog.com/
    Je te souhaite de tout cœur un beau lundi au soleil et j’espère te retrouver bientôt.
    Prends bien soin de toi.
    Gros bisous d’amitié de mon ti rocher.
    Françoise à la Réunion (que tu connais également sous les pseudos de zoreille Fany, Fany 97440 et Allamanda).

  2. oh quel thriller ; une vraie pro ma ZAZA depuis samedi Si tous les cocus avaient des clochettes ça ferai du chahut dans ma rue 100km/h la tramontane hihihihi elle glace , je ne sors pas aujourdhui je fini mon pot au feu , bonne semaine couvres toi bien si tu sors bises ma belle

  3. Bonjour Zaza,
    Le commentaire de Jill m’a fait sourire, mais c’est vrai que c’est un peu ça…
    C’est rudement bien mené. J’adore surtout tes dialogues, c’est vivant, ça claque…
    Tu n’as jamais pensé à faire éditer ?
    Je te souhaite un excellent lundi. Bises.
    FP

  4. Rekikou ma Zaza
    Que j’aime te lire ma douce amie, franchement j’admire et j’ai pas mal de choses à rattraper je vais te lire avec un immense plaisir car tu sais si bien écrire.
    Merci de ton gentil commentaire, quel plaisir pour moi de te retrouver. Belle journée et gros bisous d’amitié de mon ti rocher.

  5. J’ai vibré tout au long de la lecture…
    La ronce amoureuse…génial!
    Les retrouvailles des amants: émouvant, puissant, enivrant à l’extrême…
    La fusillade: un grand moment digne d’un film de truands!
    Encore une fois: BRAVO ZAZA!
    L’assiduité de tes aminautes à lire ton histoire parle d’elle-même…
    Gros bisous
    Cendrine

  6. Il y en a de la couleur rouge..Confiture de groseille ou fraise on a le choix. Deux en moins, ça sent la vengeance…Bon me reste plus qu’à attendre la suite.

    Deux en moins, au suivant…

    Tu décris des scènes comme si tu connaissais, rire!!

    Bisous

    EvaJoe

  7. Oh! là! là! je commence à avoir la trouille, moi, avec tout ça!!! Bon, ils vont s’en sortir, il le faut, hein, Zaza? Gros bisous, ma douce. Tu nous tiens en haleine.

  8. Bonsoir ZAza .
    J’espère que ton week-end c’est bien passé et qu’il n’y a pas trop de problème de mauvais temps chez toi .
    Nous , nous avons du froid et juste un peu de neige .
    Je te souhaite une bonne semaine .
    Bisous de nous deux .

  9. L’histoire est bientôt terminée, mais tu nous mènes tambour battant jusqu’au bout.
    T’ai-je dit que j’ai adoré cette nouvelle (re)lecture ?
    Gros bisous et douce soirée ma Zaza.

  10. Elle revient de loin la musaraigne mais elle a encore des réserves et d’la réplique à ce que j’vois! Tu as l’âme d’une romancière de polar et c’est un plaisir de te lire et de te suivre. J’ai pas rattrapé mon retard et suis la fin avant d’avoir lu le début mais comme j’ai cru voir quelque part que tu allais l’éditer , j’aurai le plaisir de lire l’ensemble tranquillement car en ce moment avec ma maman qui ne va pas bien et quelques prob de santé je suis par monts et par vaux! Bisous Zaza.

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