Le troisième œil – 7/8 … !!!

*-*-*-* Parallèlement, où se trouvait kidnappé Mike ?

Le rayon de soleil s’infiltrant au travers d’une lamelle du store tiré chatouillait l’œil de l’enfant et l’empêchait de s’endormir.
Dormir ? Pourquoi les grandes personnes décidaient-elles, à la place des enfants, du moment où il fallait dormir ?
Pourquoi fallait-il faire une sieste alors que le soleil brillait dehors, et que les grandes personnes s’en dispensaient et que lui, Mike, n’avait pas envie de dormir ?
Ces grandes personnes en question, qui faisaient du bruit dans la pièce d’à côté et dont le rire gras résonnait jusqu’à lui. Elles devaient encore jouer aux cartes en buvant du bourbon.
Est ce qu’elles jouaient au jeu des 7 familles ? Il adorait ça, Mike, le jeu des 7 familles, et quand il jouait avec Jack et Carla, c’était toujours lui qui gagnait.
L’enfant suça son pouce un peu plus fort et serra étroitement contre lui son doudou dont il prit le bout pour se chatouiller le nez.

Jack et Carla, quand allaient-ils venir le chercher ?
Bientôt ! lui avait dit un type qui l’avait collé au lit et qui portait un pistolet sur son épaule.
Celui-là, il avait une grosse voix, mais c’était le plus gentil des quatre. Plus gentil en tous cas que le bonhomme grand et maigre avec la moustache qui tournicotait.

Mike ne l’aimait pas du tout, celui-là. Il avait eu une méchante lueur dans l’œil quand il avait forcé Mike à terminer sa purée d’épinards. Les épinards, Mike, il les déteste, et d’ailleurs Carla ne lui en faisait jamais. Aussi Mike avait croisé les bras sur sa poitrine et avait soutenu le regard du grand et maigre en décrétant tout de go :
– « J’aime pas ça ! J’mangerai pas ! »
C’est là que le grand type avait eu la méchante lueur dans ses yeux : il s’était penché à sa hauteur et lui avait postillonné au visage, avec une odeur fétide lui sortant de sa bouche. Il avait braillé :
– « Tu termines TOUT jusqu’à la dernière miette sinon je te donne en pâtée aux coyotes ! COMPRIS sale morveux ?! »
Et il lui avait tiré les petits cheveux au-dessus de l’oreille, là où ça fait très mal.
Alors Mike avait eu très peur et s’était mis à pleurer.
L’homme lui enfournait la purée d’épinard, cuillère par cuillère, à chaque fois que Mike ouvrait la bouche pour hurler. Si bien que ça s’était très mal terminé : Mike s’était à moitié étranglé et avait tout vomi dans son assiette.
L’homme écarlate de colère s’était précipité sur lui pour lui « foutre une torgnole » !
Heureusement que l’autre type qui se faisait appeler Larry s’était interposé et avait pris Mike dans ses bras pour monter le coucher dans cette chambre.

– « Allez, fais la sieste, ça ira mieux après ! »
– « Je veux voir Carla ! »
– « Elle va venir tout à l’heure ! »
Mike savait très bien qu’il avait dit ça pour avoir la paix. Les grandes personnes mentent toujours ! Même Carla, elle ment ! Elle lui avait pourtant promis de l’accompagner chez les indiens…
A l’heure qu’il est, Mike n’aurait plus mal à la cicatrice rouge qui lui brûlait le front. Pied d’argile l’aurait soigné, en même temps qu’il soignait Suzanne et les autres.
Elle jouait toujours avec lui et le faisait rire avec ses pitreries, et puis elle le protégeait. Elle lui parlait comme à un grand, et ce depuis toujours, même quand il était tout petit bébé.
Il se souvient de la fois où ils étaient tous les deux dans ce laboratoire tout blanc, entourés de personnel médical masqué qui lui dessinait un œil sur le front.

Mike avait eu très mal, mais Suzanne lui tenait la main et lui chantait des drôleries à l’oreille pour ne pas qu’il crie. Et après ça, elle lui avait fourré dans la bouche le biberon qui était tombé par terre. Histoire de le réconforter encore plus !
Après, ça avait été son tour de crier quand on a fait la piqûre à Suzanne, et lui Mike, il ne pouvait rien faire pour la consoler : il était bien trop petit pour sortir de son berceau. Mais ça, il s’en souvient !
On pense généralement que l’on ne se souvient pas des choses qui se passent dans la toute petite enfance, mais Mike, il a ce pouvoir-là, lui !
S’il était plus grand et pouvait s’exprimer comme les adultes, et bien il pourrait en apprendre des choses surprenantes aux grands !
Comme cette chose qui clignotait dans son cerveau par moments, ce truc comme un point rouge qui s’éteignait et s’allumait à intervalles réguliers…

– « Le code ! » lui avait expliqué Suzanne un jour. « Quand ça clignote, ça veut dire que tu es connecté. Il suffit que tu marches droit devant toi, ne pensant à rien, qu’à te laisser guider. Tu ne seras jamais perdu avec ce truc-là qui te conduira toujours vers Pieds d’argile et nous autres. »
Mike tira sur son pouce encore plus fort.
Le truc lumineux clignotait dans sa tête ! Ce petit point rouge l’empêchait de s’endormir ?
Et puis les hommes à côté qui riait trop fort alors que le soleil brillait dehors, tout près…
Mike sauta de son lit et s’approcha de la fenêtre. Il ouvrit la fenêtre de plain-pied et sauta dans le jardin. Pieds d’argile l’attendait. Carla l’avait promis, et puis, Suzanne avait dit qu’il ne se perdrait jamais avec le petit point rouge qui clignotait dans sa tête et qui le guiderait toujours.
Alors Mike enjamba la fenêtre et se mit à courir droit devant lui, sans s’arrêter …

*-*-*-*

Je ne savais plus où j’en étais.
Cette histoire devenait rocambolesque et personne ne semblait pouvoir me fournir toutes les explications que je désirais.
Chacun semblait posséder un morceau du puzzle, mais beaucoup de pièces demeuraient manquantes pour une complète compréhension.
Combien de temps étais-je resté enfermé dans cette pièce toute blanche en compagnie de mes cinq colocataires d’infortune ? Je ne saurais le dire.
Mais s’il y avait bien une chose dont j’étais absolument certain, c’est de l’immense soulagement que j’aie ressenti quand la porte s’ouvrit enfin.
A peine la porte ouverte, une vieille indienne s’était dirigée vers moi.

– « Monsieur Carson ! »
– « Oui ! » Avais-je répondu bêtement comme si cette femme ne le savait pas déjà.
– « Veuillez me suivre je vous prie. »
Je n’avais pas posé de questions. Je sentais et savais que c’était inutile. J’avais suivi la vieille femme dans un dédale de couloirs dont les plafonds étaient ornés d’une tuyauterie rouillée qui suintait de gouttes d’eau à de nombreux endroits.
Après plusieurs minutes de marche, je me sentis quand même obligé de la questionner.

– « Où sommes-nous ? » Lui avais-je demandé.
– « En sécurité. »

– « Mais encore ? »
– « Que voulez-vous savoir de plus ? »
– « Quel est ce lieu ? »
– « C’est une ancienne base militaire désaffectée qui se trouvait au cœur des terres que le gouvernement a allouées récemment à notre peuple.
Elle nous permet aujourd’hui de vous garder à l’abri de ceux qui vous recherchent.»
– « Étonnant ! »
– « Quoi donc ? » Me demanda-t-elle.
– « Que l’armée vous laisse cet endroit en héritage. Ce n’est guère dans ses habitudes de faire des cadeaux.»
– « Ils en avaient condamné tous les accès prétendant que l’endroit est hautement contaminé par un gaz expérimental et extrêmement nocif. Mais Pieds d’argile est apparenté à un cousin qui travaille au Pentagone. Grâce à lui, nous avons su que ce n’était que du vent destiné à nous éloigner de cet endroit. Cette même source nous a fourni les plans des lieux et le moyen pour y accéder par une issue cachée au cœur de la montagne. »

Après quelques minutes de marche supplémentaires nous arrivâmes enfin auprès de celui qui détenait la réponse à toutes mes questions.

– « Bonjour James »
– « Vous êtes Pieds d’argile ? » Demandai-je étonné.
– « C’est ainsi que beaucoup de gens m’appellent en effet. »
Je ne m’attendais pas à ça, moi qui pensait rencontrer un vieux sage je me trouvais face d’un homme de trente-cinq à peine.
– « Vous paraissez surpris, voire déçu, ne désiriez-vous pas pourtant me voir plus que tout ? »
– « C’est que, comment dire, je pensais rencontrer une, un… »
– « Un vieillard peut-être ? »
– « Une personne âgée disons ! »
– « Il est des temps où l’âge n’a guère d’apparence et des lieux où il n’a guère de consistance. »
Je n’avais pas compris cette réflexion sur l’instant et Pieds d’argile ne me laissa pas le temps de m’y attarder plus longuement.
– « Vous devez partir immédiatement, James, le temps presse, Mike est en danger. Vous devez le retrouver et le ramener ici avant le solstice d’été. »

– « Mais, c’est dans deux jours ! Comment vais-je faire pour le retrouver si vite. Savez-vous au moins où il se trouve en ce moment ? »
– « Tout ce que je sais, c’est que vous devez suivre l’étoile polaire »
– « Et si je ne le trouve pas ? »
– « Ne vous inquiétez pas pour ça. Mike, lui, vous trouvera. »
Bon, alors voilà, c’était ça, j’étais missionné. Je n’avais pas tout compris de ce qu’ils avaient voulu ou pu me dire mais globalement je m’en sortais convenablement …
– « Votre mission, si vous l’acceptez, est de retrouver Mike ».
Ça avait le mérite d’être clair. Au moins, ça me fera prendre l’air et peut-être vais-je réussir à démêler la pelote des informations de la journée…
Si je me résume :

1- Peg a vu Suzanne en Olga au motel : pourquoi était-elle venue chercher Mike ? Allez savoir… 1ère question.
2- Suzanne s’est carrément pointée chez Jack et Carla pour retrouver Mike : 2ème « pourquoi ».
3- Mike a disparu: donc Suzanne, quelque part, a raté son objectif. Mystère !

Conclusion : Suzanne est partiellement amnésique et réalise des missions secrètes pour ramener Mike chez les Navajos.
Donc, je vais aller voir Suzanne et la convaincre de venir avec moi. Ce petit raisonnement basique m’a remis en forme.

– « Pourrai-je voir Suzanne avant de partir ? » osai-je
– « Rapidement alors, James. Il faut que vous y alliez »
– « Je l’accompagne. » répliqua la vieille indienne navajo. « De toute façon, la sortie est de l’autre côté »
La bonne aubaine ! Évidemment, la sortie, s’il fallait y aller, ce n’était peut-être pas idiot de la retrouver ! Je suis donc reparti avec la même vieille femme qu’à l’aller, jusqu’à mes 5 autres porteurs de marques de « l’œil ».
– « Salut vous autres ! » dis-je en entrant dans la pièce aux cinq colocataires qui ne semblaient ne pas avoir bougé d’un pouce.
– « Il faudrait que je parle un peu avec toi Suzanne »,  poursuivis-je en regardant ma vieille guide qui s’éloignait. « Je voudrais te montrer l’étoile polaire ».

– « Il faut qu’on sorte alors ? Je prends mon blouson, on ne sait jamais, avec le vent, et puis c’est presque la nuit »
– « Oui, tu as raison, prends ton blouson »

Et hop, ni vu, ni connu. En moins de deux nous étions sortis de la pièce; les quatre autres restaient cois.
Pas tout à fait tout de même. J’avais eu le droit à des remarques

  • « Comment ça l’étoile polaire ? »,
  • « Suzanne, n’y va pas, il raconte des bêtises »,
  • « Alors, James, que t’as dit Pieds d’argile »… etc., mais rien de trop conséquent.

– « Suzanne. Il faut que je te parle. »
– « Oui, et bien vas-y. Qu’est-ce qu’il y a ? »
– « Pieds d’argile m’a dit de suivre l’étoile polaire pour retrouver Mike et je ne sais absolument pas retrouver cette étoile. Sans compter, que je n’ai absolument aucune idée non plus de l’endroit où se trouve Mike. »
– « Bon, d’accord. Je vais t’aider. L’étoile polaire, je n’en sais rien. Mais pour Mike, il faut juste se concentrer pour ressentir son appel. C’est comme si tu faisais de la télépathie, tu comprends ? »
Non, je ne comprenais rien du tout.
Suzanne a respiré fort puis a fermé les yeux. Le vent a soulevé ses cheveux, lesquels ont enveloppé son visage et ont laissé apparaître des yeux comme deux pépites jaunes lorsqu’elle a soulevé ses paupières.

– « Allons près de chez lui, il n’en est pas loin, c’est sûr. Il a peur. Il bouge. Il n’est pas poursuivi pour l’instant. Il a entendu. Il va se rendre sous le grand arbre de nos rendez-vous secrets. Il nous attendra là-bas. Viens, donne-moi la main, on ira plus  vite. »
Je pris la main de Suzanne et l’on se mit à courir, comme si l’on avait le feu au train.
De temps à autre, je ne pouvais m’empêcher de jeter de brefs coups d’œil à la fillette. Je me rappelais, la scène à laquelle j’avais assisté quelques minutes plus tôt, quand j’avais demandé à Suzanne de m’accompagner pour rechercher Mike. Sa façon de se concentrer pour entrer en télépathie avec l’enfant, afin de déterminer l’endroit où il se trouvait, m’avait bluffé !
Pendant qu’elle se concentrait, j’avais aperçu ses yeux qui soudain s’étaient changés en deux pépites jaunes. Mais cela n’était rien à côté de ce que j’avais vu ensuite.
Je me souvenais, quand le vent avait à un moment donné, soulevé les cheveux qui avaient caché un instant le visage de Suzanne, avoir entrevu le visage ridé d’une vieille personne qui était apparu ! Une très vieille femme avec un sourire édenté, et ça, je ne l’avais pas rêvé !

C’était imprimé là, dans ma mémoire, même si la seconde d’après, Suzanne avait retrouvé son petit air mutin de gamine espiègle !

J’en avais la chair de poule ! Une vieille personne au sourire édenté et aux yeux comme des pépites qui brillaient, j’en étais resté bouche bée, et tout de suite, je me suis rappelé les paroles de Pieds d’argile :

« Il est des temps où l’âge n’a guère d’apparence et des lieux où il n’a guère de consistance »…

Se pouvait-il que le temps n’ait laissé aucune empreinte sur Suzanne, et qu’elle soit en fait une vieille femme … sous l’apparence de cette gamine ? Ce qui expliquerait cette impressionnante maturité qui m’avait frappé pour une gamine de cet âge-là… ?
Tout comme Pieds d’argile, qui était un vieux sage sous les traits d’un jeune homme et qui ne semblait n’avoir qu’à peine trente-cinq ans !
Pieds d’argile, lorsque je semblai surpris de trouver en face de lui un homme si jeune, avait tenté une explication par cette phrase quelque peu énigmatique ! Phrase qui m’avait laissé perplexe sur le coup. Je n’y avais pas porté plus d’importance que cela, mais qui prend son sens en y réfléchissant !

A SUIVRE

Auteur/autrice : ZAZA-RAMBETTE

Une bête à corne née un 13 AVRIL 1952 Maman et Mère-Grand...! Vous trouverez ici : humour de bon matin, sagas historiques sur ma Bretagne, des contes et légendes, des nouvelles et poèmes, de très belles photographies de paysages et d’animaux, de la musique (une petite préférence pour la musique celte), des articles culturels, et de temps en temps quelques coups de gueules...! Tous droits réservés ©

29 réflexions sur « Le troisième œil – 7/8 … !!! »

  1. Très chouette passage avec Pieds d’argile et avec les métamorphoses de Suzanne…
    Rocambolesque dis-tu? Mais ce mot est riche d’une philosophie d’écriture particulièrement sympathique et j’aimais beaucoup Rocambole dans mon enfance lol!
    Plaisir et suspens au rendez-vous, sur ces terres indiennes pleines de magie!
    gros bisous ma Zaza et rendez-vous pour la suite…
    Cendrine

  2. Qu’il est intéressant de te suivre chaque jour
    Tu ne plains pas ta peine comme on dit
    Il y a des mots qui distillent parfaitement …la réalité
    Dur dur de vieillir …
    @ Demain
    Bises

  3. pas le temps de tout lire ce matin, il faut que j’aille me préparer, et oui animation de l’atelier m’oblige à être à l’heure….je te souhaite une bien agréable journée

  4. ..nous en parlions avec Jazzy samedi dernier, tu es la reine du suspense!
    Je vais tout reprendre pour bien suivre….
    Bises du jour
    Mireille du sablon

  5. Bonjour Zaza.
    Ce matin il fait beau et la météo nous annonce du beau temps pour les jours à venir.
    Peut être que nous allons en profiter pour aller à la pêche.
    Aujourd’hui ma Maman déménage de la maison de retraite ou elle était pour une autre moins chère.
    Il n’y avait rien qui justifiait plus de 4000 euros par moi ou elle était avant, même pas la qualité des soins. Se sont des profiteurs, un point c’est tout.
    Je te souhaite une bonne journée.
    Bisous de nous deux.

  6. Bonjour,
    J’ai du rater des épisodes, mais j’ai aimé lire celui-ci et c’est vrai, le temps, l’âge ne joue que sur notre ressenti.
    Bonne journée
    Bises

  7. Ah! le fantastique est en train de le remporter dans ce récit. Je ne suivrai jamais l’étoile polaire, moi, si ça continue. Oh! et tu nous as mis Joss Randall. Lui par contre je le suivrai bien… Gros bisous, ma doucette, et belle journée

  8. Bonjour Zaza je pense que là tu peux écrire un livre, c’est vraiment palpitant, bravo Bisous et bon après-midi MTH

  9. Je pense qu’ils ont arriver à temps pour récupérer Mike , par contre je me demande bien ce qui va se passer après , j’ai hâte de savoir .
    Bonne journée et merci pour le suspens
    Bises

  10. Moi je dis l’âge ne fait rien à l’affaire et l’âge c’est un décompte conventionnel … Si l’on sort du cadre on s’apperçoitque les années ne se mesurent pas pour tout le monde pareille.
    Bon ceci dit revenons à nos m… stigmatisés il va y avoir de la retrouvaille enfin de la trouvaille …
    Alors laisons nous guider par l’étoile polaire Zaza.
    Bon après-midi
    Bisous

  11. Zaza laisse tomber le récit et amène moi vite dans cet endroit si on y retrouve et conserve jeunesse faut se dépêcher d’y aller….allez on y va dis? Bisous

  12. C’est très très intéressant et je dirais même passionnant …
    J’attends donc la suite avec impatience !
    Passe une bonne fin de journée . Cordiales amitiés & à +

  13. Coucou zaza,
    Bon ben j’avais raté le début mais j’ai pris en cours de route et j’ai lu tout l’épisode, le coeur palpitant comme une enfant qui découvre un livre précieux… j’adore cette histoire… c’est quoi, en fait ? un livre que tu écris ?
    Bon, je passe en vitesse parce que, comme d’hab pressée… surtout vu que je viens de passer dix minutes à lire ton récit ;) maintenant faut quej’aille donner à manger à mes fauves…
    De gros bisous ma belle… pour ton amie, je ne l’ai toujorus pas contactée, j’ai pas eu le temps, je n’arrête pas et je suis épuisée… et comme mon amie Arlette ne m’a pas relancée, j’attends qu’elle le fasse, pendant ce temps j’essaie d’avancer dans mes propres problèmes…;)
    A bientôt.
    Cath

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