Le troisième œil – 8/8 … !!!

Ce pouvait-il que cet œil que nous avions tous en commun, cette plaie que nous portions comme un sceau, ce pouvait-il que cet œil ait une quelconque relation avec tout ça ?

Un truc magique qui ne nous ferait pas « fonctionner » comme tout le monde, et dans quel but ?
Et là, tout à coup, j’eus une suée froide qui me coula dans le dos !

  • Mais alors moi ???
  • QUI étais-je en réalité ???
  • Quel âge avais-je réellement ??!
  • Peut-être étais-je en fait, moi aussi, un vieil homme, sur terre depuis des millénaires, alors qu’en me regardant dans le miroir, je voyais plutôt une belle gueule encore jeune !!!

Je savais bien qu’il y avait un trou noir dans ma vie, puisque je ne me souvenais même plus être passé sur le billard pour cette histoire d’œil que je portais sur le bras comme un signe de reconnaissance.

  • Ça, on avait tenté de me l’expliquer, mais le reste ?
  • TOUT le reste de ma vie passée ???
  • QUE me voulait-on ??
  • Qu’attendait-on de moi ?
  • Quelle était ma mission, si mission il y avait ??!
  • Je me rendais soudain compte que je n’avais jamais, à aucun moment, posé les VRAIES questions.

Pieds d’argile lui-même, semblait avoir écarté mes questions en prétextant l’urgence de retrouver le petit Mike !
Là, soudain, j’eus très peur, peur de ce qui m’attendait, peur de ne pas savoir…

– « STOP ! Suzanne, STOP ! »

Je m’arrêtai de courir brusquement et Suzanne me regarda interloquée.
– « Maintenant je VEUX savoir ! TOUT savoir : ce que je fais ici avec vous tous, pourquoi je suis là, pour quelle mission, qui je suis ! »
– « Oh, James, ce n’est pas le moment !! Regarde, on est sur le point de retrouver Mike ! Fais-moi confiance. Il ne reste plus beaucoup de temps avant que tu te souviennes toi-même de tout. Il faut ramener Mike le plus vite possible à la base où se trouvent Pieds d’argile et les autres !
On va réussir James !! Ré-u-ssir !! Il suffit que l’on soit TOUS réunis, tous les sept en même temps, pour que l’on accomplisse notre mission, le jour du solstice d’été.

Si on loupe cette date, James, nous sommes repartis pour des années et des années d’errance, avant d’être à nouveau réunis. Cela fait suffisamment longtemps que ça dure, cette histoire ! C’est pourquoi, il faut ramener Mike de toute urgence, sans quoi on ne mènera jamais à bien cette mission ! Et n’oublie pas que Mike est recherché et en danger !!! Les hommes de l’ombre, commandités par le gouvernement, cherchent, par tous les moyens, à nous séparer les uns après les autres, afin que le pacte échoue ! Alors ne pose plus de questions, fais-moi confiance : ramenons Mike au plus vite et une fois en sécurité, tu verras, TOUT te semblera limpide ! »

J’obtempérais malgré moi, devant l’urgence évoquée.
Peut-être parce que dans mon for-intérieur, je faisais confiance à Suzanne, comme un sixième sens. Une petite voix inconnue me soufflait « mais oui, James, tu sais bien, elle a raison ! », peut-être une réminiscence !
Et puis parce que de toute façon je n’avais pas le choix : Suzanne était déjà loin de mes préoccupations, toute à ses retrouvailles avec Mike.
Le petit garçon nous attendait. Mais était-il vraiment un petit garçon sous ces traits angéliques.
Suçant son pouce, son doudou serré contre lui, il semblait attendre notre arrivée, nullement étonné de nous voir là.
– « Normal ! Me souffla Suzanne, on a communiqué par transmission de pensée : il savait que l’on allait arriver puisque c’est lui qui m’a indiqué le chemin ! »
– « Hum ! Oui, oui, bien sûr…normal ! » Dis-je en secouant la tête d’un air entendu.
Suzanne se précipita vers l’enfant et le prit dans ses bras.
– « Père, enfin toi ! »  lui dit-elle. « Crois-tu que nous finirons, enfin, par tous nous retrouver autour de Pieds d’argile pour notre mission secrète que nous n’arrivons jamais à mettre à exécution ??!!!  Cette fois, je te tiens !  Et je ne permettrai à personne de t’enlever à nouveau ! Quand je pense que j’ai échoué sans pouvoir te ramener de ce foutu motel ! Que j’ai été obligée de jouer une morte assassinée pour pouvoir tromper ces mecs envoyés par le gouvernement, et que tu m’as encore été enlevé : Et rebelote chez Carla et Jack où t’avais réussi à te cacher ! Enfin, cette fois-ci, je crois qu’on tient le bon bout !! »
Suzanne était aux anges et riait aux éclats à l’évocation de toutes ces aventures rocambolesques. Moi, je les regardais tous les deux, abasourdi.
– « Ne nous réjouissons pas trop vite, mon enfant ! » rétorqua Mike à Suzanne. « Nous ne sommes pas encore à l’abri : tout peut encore arriver ! N’oublions pas que le F.B.I. est à nos trousses ! »
Et se tournant vers moi, il crut bon de m’expliquer :
– « L’œil qu’ils nous ont taillé jusque dans notre chair, à chacun de nous, leur sert à nous repérer où que nous soyons ! Comme tu as pu le remarquer, James, cet œil qui, à l’approche du solstice d’été, se met à rougeoyer jusqu’à nous faire mal, leur sert de repère : ils ont dû insérer en nous une sorte de puce électronique !
Ils savent bien que le pacte sera mis à exécution au solstice d’été, et à chaque nouveau solstice, l’œil, en nous, se réveille et les prévient du danger de notre rassemblement ! Alors, ils allient toutes leurs forces pour nous empêcher de nous rendre là, où nous devons accomplir notre mission ! Une fois le solstice passé, ils savent qu’ils sont tranquilles jusqu’au prochain ! Mais cette fois-ci, crois-moi, ils n’auront pas gain de cause ! Partons au plus vite ! Pieds d’argile s’impatiente : tout est prêt ! »
J’observais, hébété, cet enfant qui agitait le doigt d’un air sévère,

tenant de l’autre main son doudou et qui proférait un discours de vieux sage, et Suzanne, cette fillette de dix ans qui appelait le bébé « Papa » ! Irréaliste !!
Je devais être en plein cauchemar !
Tous les évènements se succédaient comme si j’assistais à un film de science-fiction, sauf que j’en étais l’un des personnages principaux qui aurait oublié son texte !
Je me pinçais violemment le bras : non, je ne rêvais pas !
J’imaginais le F.B.I. et tout le gouvernement américain scotchés, les yeux rivés sur leurs écrans pour repérer le moindre de nos déplacements. Les écrans clignotaient et faisaient bip-bip !
Si cela était vrai, nous étions réellement en danger et les minutes étaient précieuses !
Je ne pensais qu’à une chose maintenant: arriver au plus vite dans la base où nous attendaient Pieds d’argile et les autres, afin de connaître toute la vérité et surtout le dénouement de toute cette étrange histoire !
Je me mis à courir comme un dératé, pour rattraper Mike et Suzanne qui avaient déjà pris une bonne longueur d’avance !

Nous étions maintenant tous réunis, la veille du solstice d’été.

J’allais enfin tout savoir, tout comprendre. J’allais enfin sortir de ce cauchemar qui me collait à la peau depuis plusieurs jours comme si j’étais empêtré dans une gigantesque toile d’araignée.
Pieds d’argile aussi se trouvait dans cette gigantesque salle. Le pacte du soleil allait pouvoir commencer. J’avais peur, peur de ce qui allait bien pouvoir se passer. J’avais peur et pourtant j’étais paisible et détendu. Cela peut sembler étrange et paradoxal, et pourtant, il en était ainsi. Sans doute le soulagement de se savoir si proche du dénouement.
Si alors j’avais su ! Si alors j’avais pu prévoir ! Mais les si ne sont que des rêves destinés à embellir le monde.

« Avec des SI, on mettrait PARIS en bouteille ! »

Je n’étais pas au bout de mes surprises.
La vérité était tellement incroyable, qu’aujourd’hui encore, alors que j’écris péniblement ses mots sur une des dernières feuilles encore vierge de mon carnet !

  • Aujourd’hui encore, je me demande si je ne suis pas en train de rêver.
  • Aujourd’hui encore, je me demande si toute m’a vie n’aura pas été qu’un rêve.

Pieds d’argile ouvrit la bouche et soudain, à ma grande stupeur, il s’estompa.

Oui je vous assure, il s’estompa. Son corps se mit à disparaître lentement.  Seules ses mains semblaient résister. C’était comme si sa chair n’existait pas ! Il se transforma en un amas de brume.
Pris de panique, je me suis retourné d’un geste brusque, cherchant soutien et réconfort dans le regard des autres, cherchant un début d’explication peut-être dans la voix de Bob Baker, dans celle de Suzanne. Mais il était dit que rien ne me serait épargné. Bob Baker, Suzanne et tous les autres disparaissaient aussi, tout comme Pieds d’argile !

J’allais rester seul, désespérément seul.
Soudain je senti une petite main qui serrait mon index de plus en plus fort.

Je baissai les yeux. Mike leva les siens. Il me regardait visiblement tout aussi inquiet et apeuré que je pouvais l’être. J’étais encore prêt à me raccrocher à un enfant de 31 mois pour tout m’expliquer, mais même ce dernier espoir était en train de s’envoler. Mike avait si peur que je compris que lui non plus ne savait pas ce qui se passait.
Mike me serra soudain si fort la main, que la douleur que je ressenti remontant lentement le long de mon bras, se fit grandissante pour exploser au niveau de l’œil. J’avais mal, mais je ne pouvais pas crier. Je restais bouche bée devant ce qui produisait la frayeur de Mike.
La salle où nous nous trouvions était aussi en train de s’estomper, laissant place à une pièce beaucoup plus moderne, beaucoup plus petite, beaucoup plus blanche, de la blancheur de mes rêves, de l’horreur de mes souvenirs !

Ce cube blanc, totalement nu de meubles devait faire six mètres par trois. Seule signe distinctif, l’unique porte, blanche aussi de surcroît, qui se détachait du mur. Soudain, la poignée tourna, la porte s’entrouvrit, allais-je enfin savoir ?
Un homme, vêtu d’une longue blouse tout aussi blanche que les murs, entra dans la pièce. Un homme que je n’avais jamais vu en dehors de mes rêves. Mais pourtant un homme que nul autre ne pouvait connaître mieux que moi !

Je ne pouvais m’attendre à cela, mais pouvais-je encore m’attendre à quelque chose devant tous les évènements qui dépassaient mon entendement depuis quelques jours. L’homme qui se trouvait devant moi en cet instant n’était nul autre que mon vrai père, moi qui me croyait orphelin depuis toujours.
Mike me lâcha la main pour courir vers lui.
– « Papa ! » Cria-t-il.
Pouvais-je en être encore surpris vous ai-je dit.
– « Bonjour Père ! », lui dis-je calmement. « Vais-je avoir droit à une explication ? »
– « Bonjour James, en effet, le temps est sans doute venu pour toi de le savoir. »
– « Alors je t’écoute. »
– « Il y a une quarantaine d’années le gouvernement a décidé de mener des recherches sur la génétique humaine. Cela fut bien sûr caché à la population mondiale. Je t’avouerais même que cela fut ensuite caché par les militaires à tous les présidents et gouvernements qui se sont succédé. Nous sommes parvenus à créer artificiellement l’impossible. C’est à dire créer un embryon complet à partir de clonage cellulaire humain.

De cette façon, si pour une raison ou une autre, toutes les femmes du monde devenaient un jour, stériles, nous pourrions ainsi faire perdurer la race humaine. »
– « Vous vous prenez pour Dieu ! »
– « Nous n’avons pas ce talent, pour ce faire nous avons pris une cellule porteuse du chromosome X et l’autre du chromosome Y.
Au contraire de Dieu, nous ne sommes jamais parvenus à faire une femme à partir des cellules d’un homme. Je pense que tu l’as compris, tu es le premier homme conçu de cette manière. Tu n’as pas de mère et je suis ton unique parent, en ce sens que ce sont mes cellules qui ont servies à ta conception. »
– « Je me souviens de vous père ! »
– « Cela me surprend un peu, et l’on devait s’y attendre. »
– « Surpris ? Pourquoi ? »
– « Dès ta naissance, si je puis m’exprimer ainsi, ton cerveau fut relié à un supercalculateur.

Cet ordinateur, incontestablement le plus puissant du globe, a été ton monde pendant les dix premières années de ta vie. Il t’a tout enseigné et t’a fait vivre dans un monde virtuel, irréel, un monde numérique inséré dans ton esprit.
Seulement de temps en temps, ton esprit faisait preuve d’indépendance, tu ouvrais les yeux !
On n’a jamais pu savoir si tu parvenais à enregistrer des images de ces flashs visuels. Le fait que tu m’aies reconnu aujourd’hui prouve que c’était le cas. »
– « Mais si j’étais câblé à une machine, comment ai-je pu avoir ma vie ? Et Mike ? Qui est-il ? Mon fils ? Ton fils ? Une anomalie génétique ? »
– « Quand tu as eu dix ans, tu t’es réveillé une nuit. Personne ne sait comment, cela s’est produit. Tu t’es levé et tu as réussi à te débrancher de l’ordinateur. Était-ce par ta propre volonté ou par une erreur de conception du programme informatique ? On n’a jamais pu le définir précisément. Toujours est-il que tu t’es enfui et nous avons totalement perdu ta trace. En te débranchant tu avais irrémédiablement détruit l’ordinateur.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, tu es parvenu à te débrouiller tout seul pour te retrouver dans un orphelinat de New-York, moins de vingt-quatre heures après ta disparition.

A cette époque nous n’avions pas poussé nos recherches si loin. Ne retrouvant pas ta trace nous avions fini par admettre que tu t’étais simplement noyé dans la rivière qui borde ce complexe scientifique, jusqu’à… »
– « Jusqu’à ? »
– « Nous avions décidé d’abandonner le programme de recherche avec ta disparition. Cependant, il y a trois ans, un de nos informaticiens a par inadvertance connecté une vieille mémoire (non volatile) à nos ordinateurs actuels. Ces derniers ont ainsi, fait revivre ta mère virtuelle, et celle-ci nous a fait une révélation extraordinaire: ton cœur battait encore, tu étais toujours vivant. »
– « Comment cette vieille mémoire pouvait elle le savoir ? »
– « Nous t’avions introduit dans le bras une cellule informatique de forme ovale. Cette cellule, reliée au système nerveux de ton cerveau, transmet à intervalle régulier des informations à l’ordinateur central. »

– « En permanence ? »
– « Malheureusement non, sur une période très courte, quelques minutes par jour et pendant quelques jours, juste avant le solstice d’été ! Les piles qui permettent à la cellule de transmettre sont de faible capacité. Par chance, elles se rechargent d’elles même en puisant leur source électrique dans l’influx nerveux du corps. Mais le processus est long. »
– « Deux ans ! » Avais-je dit machinalement.
– « Exactement ! D’autre part quand la cellule émet, elle surchauffe provoquant douleur et brûlure de la peau. »
– « Merci de me l’avoir mis au bras, je plains Mike de l’avoir au front. »
– « Mike est plus évolué que toi. En insérant la cellule dans le front, on permet à son cerveau de mieux la contrôler, sa douleur est ainsi vingt fois moins forte que la tienne. »
– « Je croyais que vous aviez abandonné vos recherches ! Et Mike ! »
– « Ayant découvert que tu étais en vie. Nous ne pouvions te laisser dans la nature, il nous fallait te récupérer. Nous avons donc créé un clone à partir des cellules souches que nous avions conservées. Nous avons créé Mike dans l’optique d’aller te chercher.
Nous lui avons donné des éléments de ta mémoire pour que vous soyez en phase : Olga, Bob Baker, Suzanne, Pieds d’argile, autant d’images virtuelles que l’ordinateur avait enfouies dans ton subconscient.
– « Et lui aussi vous l’avez perdu ! »
– « Tu comprends étonnamment vite James. Dans le motel la mise en scène était destinée à t’attirer. Seulement ce que nous ne pouvions pas prévoir c’est qu’une femme stérile en mal d’enfant ne nous vole Mike laissé seul à la réception par Peg. »
– « Carla ? »
– « Oui, Carla ! »
– « Vous avez donc attendu le solstice d’été suivant pour vous remettre en quête de nous retrouver moi et Mike ! »
– « C’est exact ! Mike a refait parlé de lui. Nous savions que tu serais attiré vers Phoenix. Nous avons remplacé Carla et son époux par deux de nos agents. Ils t’ont guidé vers la réserve des Navajos où se trouve ce complexe. Au bar de cette tribu, la douleur t’a provoqué un malaise vagal. Nous t’avons récupéré et branché à un ordinateur par l’intermédiaire de la cellule en forme d’œil. Il t’a replongé dans ton monde virtuel en te faisant croire que tu te trouvais avec des personnes atteintes de ton mal. Il t’a poussé à aller chercher Mike. Ce que tu as fait. Tu t’es lancé à sa poursuite en compagnie d’une imaginaire Suzanne que seul ton esprit pouvait voir. Mike était « programmé » pour te retrouver, votre rencontre était inévitable. Mis en confiance par notre Suzanne qui vous transmettait nos ordres par une connexion informatique sans fil, et vous êtes revenus ici. »
– « Et maintenant ! »
– « Nous allons attendre la fin du solstice et déprogrammer définitivement ton œil. »
– « Vous allez tuer votre création ! Après tout, c’est peut-être mieux ainsi. Je préfère ne pas vivre, plutôt que d’être un animal de foire. »
Mon carnet est fini, j’écris maintenant sur sa couverture.
Sans doute, suis-je mort à l’heure actuelle !

Cependant, si vous lisez ces mots et qu’il n’existe plus aucune femme dans votre monde, alors appelez-moi papa, car cela voudra dire que vous venez de lire les mémoires du premier homme de votre espèce !

Auteur/autrice : ZAZA-RAMBETTE

Une bête à corne née un 13 AVRIL 1952 Maman et Mère-Grand...! Vous trouverez ici : humour de bon matin, sagas historiques sur ma Bretagne, des contes et légendes, des nouvelles et poèmes, de très belles photographies de paysages et d’animaux, de la musique (une petite préférence pour la musique celte), des articles culturels, et de temps en temps quelques coups de gueules...! Tous droits réservés ©

26 réflexions sur « Le troisième œil – 8/8 … !!! »

  1. Une sacrée histoire Zaza… On ne sait pas ce que nous réserve demain, peu-être ceci !!! Merci encore, bises

  2. Quelle épopée futuriste et nous reliant aux spires mystérieuses de notre Humanité qui vient d’où, on ne sait… d’une science inconnue, des étoiles, de choses plus abyssales encore?
    Bravo ma Zaza pour ce récit palpitant, un sacré voyage avec des personnages attachants et un narrateur que l’on a beaucoup aimé suivre
    Gros bisous et une myriade automnale de belles pensées!
    Cendrine

  3. une histoire qui pourrait bientôt exister, le clonage sur les animaux existe, alors sur l’être humain je suis sûr que la recherche sait et fait beaucoup de chose….ce serait épouvantable d’en arriver là….passe une bien agréable journée

  4. De la science fiction à la réalité il n’y a qu’un pas qui j’espère ne sera pas franchi.
    Bravo pour ce récit plein de rebondissements, j’ai aimé te suivre au fil de ces épisodes.
    Très belle journée, bises
    danièle

  5. …wouah quelle fin! mais cette histoire pourrait bien être réelle un jour, on nous cache bien des choses….
    Bises du jour
    Mireille du sablon

  6. Pas si loin peut-être de ce qui est ou sera notre réalité …
    Tu as si bien narrée , j’en suis encore toute chose
    Merci et bonne journée
    Big bisous

  7. Zaza j’ai une seule question à te poser … pour moi tu es virtuelle parce que je ne t’ai pas encore rencontrée mais je sais que tu es réelle pour ceux qui te connaissent.
    Mais dis moi que tu n’es pas un clone et qu’un jour on pourra se dire bonjour.
    Allez ma belle en attendant je te bise

  8. Oh! là!là! Dis? Tu viens pas d’une autre planète, toi? Tu as fait un écrit digne d’un film à la fois fantastique et de science fiction. Un vrai régal, E T. Bisous et douce journée

  9. Whaouh , une fin époustouflante , merci beaucoup Zaza de nous avoir plongé dans cet univers qui pourrait bien un jour être celui des hommes, la science ne fait que progresser espérons qu’elle soit toujours encadrée par un comité d’éthique pour que l’homme ne soit pas qu’un simple champ d’expérimentation .
    Tu as raison pour le rendez – vous reflets , je me suis trompée de semaine .
    Bonne journée
    Bisous

  10. Bonjour Zaza, quelle étonnante histoire , de la science fiction à l’état pur, quoique…. maintenant avec l’intelligence artificielle et oute la science , on peut s’attendre à tout. J’ai adoré cette histoire Bisous MTH

  11. Mince une histoire virtuel complètement même les êtres mais….est-elle virtuel cette histoire????? fais froid dans le dos vu qu’on sait pas tous ce qui se fait dans ce domaine. Bravo Zaza ton imagination elle n’est pas virtuel! Bisousssss

  12. wouah ! c’est fini ? j’ai un de ces mal de tête , j’ai rêvé, non ? quelle histoire, bravo Zaza, que peut on dire apres une histoire pareille ! ahurissante, mais tellement bien contée, on se prend à y croire ! bonne soirée, bisous

  13. C’est une histoire époustouflante. Je suis coite.
    Tu as du entendre cette information de savants chinois qui ont réussi à créer une souris femelle à partir de 2 souris femelles. La vie est parfois déroutante. Ton histoire fait bien suite aux contes et légendes bretonnes. Bises et chapeau pour ton imagination fertile.

  14. Eh bien !!!
    Heureusement que j’ai des femmes dans ma mémoire…
    Terrible histoire, mais que d’imagination !
    bravo, Zaza !

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