Quand tu crois qu’il n y a plus de lumière
C’est juste parce que tu portes des œillères
Quand tu penses que tu n’as plus d’amis
C’est sans doute que ton sas est interdit.
Quand tu crois ne plus rien comprendre
C’est que tu ne veux plus rien entendre
Quand tu crois que ta douleur est unique
N’oublies pas celle des autres en panique
Quand tu crois ta trajectoire sans issue
C’est pour ne pas l’avoir à fond parcourue
Quand l’amour ne te semble qu’illusion
C’est pour l’avoir défini comme un rêve
Quand tu crois que l’extase est pour autrui
C’est que ton regard est fixé sur elle ou lui
Quand tu crois que ceux t’aimant te plantent
C’est parce qu’ils fuient ta face larmoyante
Après tout peu importe ce que tu crois
Je crois en tout ce à quoi tu ne crois pas
Et je serai encore là pour te redonner foi
Tu croiras en moi comme je crois en toi
Je suis là où tu me vois
Je suis là où tu me crois.
Je suis ton meilleur copain
Car je suis ton ange gardien
ZZ – Août 2009
Merci pour ce bon moment, avant d’aller dormir que demander de plus très belle journée gros bisous caty
Merci ma Caty,
Bisous, bisous
Ah notre ange gardien, il faut lui faire confiance, belle définition Zaza, bises
Merci beaucoup Jill,
Bisous, bisous
Superbes ces mots Zaza ! J’♥ beaucoup ! Bon début de semaine ! Bisous♥
Heureuse que ce poème te plaise Colette.
Bisous, bisous
Merci Zaza pour ces jolies lignes de bon matin ! Bisous bonne semaine !
C’est toujours un plaisir Nicole.
Bisous, bisous
intéressant je dirai même très intéressant
a bientôt
lyly
Tu trouves aussi ma Lyly ????
Bisous, bisous
Zaza,
Certaines phrases résonnent fortement. C’est bien tourné.
@+
Merci Thierry, c’est très gentil.
Bisous, bisous
La mécréante que je suis a néanmoins toujours eu l’impression d’être protégée dans des circonstances qui auraient pu être dramatiques. J’ai toujours pensé qu’il s’agissait de mon père décédé lorsque j’étais adolescente.. une petite lumière qui me rappelait les limites à ne pas franchir…
Très beau poème Zaza
Tout aussi mécréante que toi ma Fanfan, mais j’aime à penser que je n’avance pas seule dans la vie.
Bisous, bisous
il ne faut pas l’oublier cet ange gardien… mais des jours il doit oublier de se réveiller et nous laisse faire (et dire) n’importe quoi !
Tu as raison ma Josette, quelque fois absent de son poste d’ange gardien!
Bisous, bisous
Très joli Zaza et très vrai il faut y croire car il nous protège vraiment. Bisoussss
C’est à souhaiter Renée
Bisous, bisous
Un tres beau poème Zaza dédié à l’ange gardien , il y a eu des années où il a du prendre de grandes vacances mais bon il est toujours revenu alors je continue à l’apprécier .
Bisous
Il est là, avec toi, même si tu ne le vois pas
Bisous, bisous
Bonsoir Ange Gardien -;) !
J’ai lu tes beaux textes. Merci !!!
Je te fais de gros bisous ma Zaza …Bonne semaine !!!
Francine (Clio)
Merci ma Francine, c’est très gentil.
Bisous, bisous
Bonsoir Zaza !
Joli poème ! Bravo ! … Pour le rébus aussi !
Bonne soirée !
Pierre
http://rotpier.over-blog.com
Merci Pierre, pour une fois que je ne m’étais pas trompée.
Bisous, bisous
…je ne sais pas ce que c’est mais au fond de moi, il y a toujours un petit quelque chose qui me permet..d’avancer malgré les difficultés….tu crois que c’est un ange-gardien???
Bisous du soir de Mireille du Sablon
Certainement Mireille ! Me ne suis pas croyante, mais il doit y avoir un petit quelque chose qui guide nos pas !
Bisous, bisous
un bel hommage à ton ange gardien-
j’y crois et je pense en avoir un – parfois je me dit que j’ai eu de sacrées chances dans certaines situations dangereuses ou difficiles-
je lui dit merci à voix basse-
bonne soirée-
Merci Marianne pour ce commentaire positif. Bien sur qu’il existe cet ange, et pas besoin de religion pour qu’il guide nos pas !
Bisous, bisous
Un très beau poème
Bon mardi Zaza
Merci beaucoup ma Kri.
Bisous, bisous
le mien s’appelle Nathanaël…je lui demande tellement de choses…le pauvre!!! bisous ma Zaza.
Tu vois, le mien n’a pas de nom, mais il guide tout de même mes pas
Bisous, bisous
Un poème qui me parle beaucoup…
Merci, ma Zaza.
Je t’embrasse fort.
Je m’en doute ma Quichottine.
Bisous, bisous