Jean-Jacques Goldman est né à Paris, le 11 octobre 1951, au sein d’une fratrie de quatre enfants.

 

Bon anniversaire Monsieur

J’espère Monsieur Goldman, que vous ne me tiendrez pas rigueur de vous souhaiter votre anniversaire et de résumer votre vie en quelques mots, CLIC.

Discret mais prolifique, Jean-Jacques Goldman a réussi sur deux fronts : une brillante carrière solo et un nombre impressionnant de collaborations fructueuses.
L’interprète de nombreux tubes s’est également illustré par son implication dans Les Restos du Cœur aux côtés de Coluche.
S’il reste aujourd’hui retiré des médias, son travail est toujours à l’honneur grâce aux nouveaux talents de la chanson française qui lui rendent régulièrement hommage, notamment à l’instar de « Génération Goldman ».
Jean-Jacques Goldman est un auteur, compositeur et interprète français, reconnu pour ses titres phares comme « Quand la musique est bonne », « Il suffira d’un signe » ou encore, « Envole-moi ». Ses chansons sont aujourd’hui de véritables classiques, transmises de génération en génération.
Son enfance et la découverte de la musique
Il est le fils de Ruth Ambrunn, juive allemande, et d’Alter Mojsze Goldman, juif polonais communiste ayant participé à la Résistance durant la Seconde Guerre mondiale.
Ses parents sont alors propriétaires d’un magasin de sport.
Son demi-frère Pierre Goldman, militant d’extrême gauche, d’abord condamné à douze ans de réclusion pour braquages, puis à perpétuité en 1974 pour l’affaire de la pharmacie du boulevard Richard-Lenoir, est assassiné en pleine rue en 1979 après avoir été acquitté. 
Pendant une dizaine d’années, il fréquentera l’association de scoutisme les « Éclaireurs de France », ce qui lui permettra de rompre avec la solitude. Il apprend également le piano et le violon et se prend d’affection pour un instrument en particulier : la guitare.
À l’âge de 14 ans, Jean-Jacques Goldman fait ses premiers pas en tant que chanteur, au sein de la chorale de l’église de Montrouge. Avec cette formation, il enregistrera d’ailleurs un 45 tour de gospel.
Au lycée, le futur artiste s’intéressera à des sonorités plus rock, en écoutant notamment Bob Dylan.
Il formera également un premier groupe avec Alex et Chris Gibson. La formation s’arrête lorsque Jean-Jacques Goldman obtient son bac en 1969.
Début 1970, il intègre l’Edhec de Lille (École des hautes études commerciales du nord), dont il sort en 1973. Mais c’est en 1971, qu’il décide de se lancer dans la musique. 
Il prend des cours et se perfectionne pour jouer de la guitare, pour débuter sa carrière d’artiste au sein de divers groupes tels que les « Red Mountain Gospellers », « The Phalansters », qu’il fonde, puis les « Taï Phong ».
La naissance d’une carrière unique
Après son service militaire, Jean-Jacques Goldman rejoint le groupe « Taï Phong », puis décide de remplacer le chanteur, qui est alors malade.
Un an après, en 1976, il découvre un intérêt pour la musique française, bouleversé par un concert de Léo Ferré. La même année, il sort un premier 45 tour solo, suivi rapidement par un second, puis un troisième.
En 1979, il se sépare de « Taï Phong » et se lance véritablement en solitaire.
Ce nouveau tournant de sa carrière sera marqué par une chanson phare : « Il suffira d’un signe », qui figure sur son premier album.
En 1982, la maison de disques de Jean-Jacques Goldman insiste pour accélérer la sortie du deuxième album, qui restera sans nom du fait des choix de l’artiste, jugés trop négatifs. On y retrouve des titres comme « Quand la musique est bonne » ou encore, « Comme toi ». Jean-Jacques Goldman le baptisera toutefois officieusement « Minoritaire ».
Un troisième album du nom de « Positif » vient compléter la palette artistique du chanteur. Un nom qui n’a pas été choisi au hasard, mais en réaction aux précédents refus de sa maison de disques.
Ce nouvel opus contient des chansons comme « Encore un matin »,  « Au bout de mes rêves » ou encore « Envole-moi » et se vendra à plus d’un million d’exemplaires.
En 1985, « Je marche seul » ouvre la sorte d’un nouvel album intitulé « Non homologué » : un autre succès de taille !
Un artiste qui séduit le public, de génération en génération
En 1987, Jean-Jacques Goldman revient avec « Entre gris clair et gris foncé », un album riche qui propose notamment des titres comme « Elle a fait un bébé toute seule » ou encore « Là-bas ».
Il profitera ensuite de quelques années pour jouer en compagnie de ses amis Carole Fredericks et Michael Jones. Ensemble, ils sortiront « Fredericks Goldman Jones », « Rouge » et « Du New Morning au Zénith ».
En 1997, Jean-Jacques Goldman réapparaît en solo, avec des mélodies acoustiques, aux tonalités blues.
L’album « En passant » rencontrera lui aussi un succès incroyable, abordant les thèmes de l’amour et de l’existence.
Au début des années 2000, il décide de revenir vers des sonorités dansantes avec « Musicien pour les pieds » : un album musicalement riche, teinté de zouk et de disco.
Le compositeur et interprète enchaîne les succès, aussi bien sur ses albums que sur ceux des artistes pour lesquels il compose : (Johnny Hallyday, Céline Dion, Patrick Fiori, Christophe Maé, et bien d’autres…)
Jean-Jacques Goldman participe également à la composition de bandes originales de films tels que « L’Union sacrée » et « Pacific Palissades », dont une chanson avec Ray Charles, et de génériques d’émissions télévisées comme « Taratata ».
Ses titres solo font danser toute une génération dans les années 1980 : 
« Il suffira d’un signe » (1981), « Quand la musique est bonne » (1982), « Au bout de mes rêves » (1983), « Encore un matin » (1984), « Envole-moi » (1984), « Je te donne » (1985), « Elle a fait un bébé toute seule » (1987) font des cartons dans les charts.
Il s’implique également beaucoup dans les « Restos du Cœur » et fait de la tournée des « Enfoirés » un véritable évènement musical médiatique.
Après ses quelques années, son travail artistique et ses collaborations, Jean-Jacques Goldman décide de se retirer de la musique, pour se consacrer à sa vie de famille. Ce fut un premier au revoir !
Désigné personnalité préférée des Français lors d’un sondage publié par Le Parisien en 2012, Jean-Jacques Goldman reste depuis au top de ce classement.
En 2002, Jean-Jacques Goldman rappelle sa troupe de musiciens pour une dernière tournée « Un tour ensemble » qui fait l’objet de l’enregistrement en public.
Deux ans plus tard, le chanteur se retire définitivement de la scène après avoir participé au concert « Les vendanges du cœur » à Ouveillan et aux Francofolies de la Rochelle.
Il refait une ultime apparition dix ans plus tard pour les 20 ans des « Vendanges du cœur ».
Du côté de sa vie privée
En 1975, il se marie avec Catherine Morlet.
Le couple donne naissance à Caroline (1975), Michael (1979) et Nina (1985).
En 1997, Jean-Jacques et Catherine Morlet divorcent.
Mais en 2001, le bonheur fait de nouveau son apparition en la personne de Nathalie Thu Huong-Lagier, franco-vietnamienne étudiante en mathématiques de 28 ans sa cadette.
Ensemble, ils ont trois filles : Maya (2004), Kimi (2005) et Rose (2007).
La tribu s’installe dans une banlieue résidentielle de Londres en 2016 puis revient en France, à Marseille, en 2021. 

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« Taï Phong » avec Jean-Jacques Goldman comme chanteur – Sister Jane

Jean-Jacques Goldman – Il suffira d’un signe

Jean-Jacques Goldman – Quand la musique est bonne

Jean-Jacques Goldman – Au bout de mes rêves

Jean-Jacques Goldman – Comme toi

Jean-Jacques Goldman – Encore un matin

Jean-Jacques Goldman – Envole-moi

Jean-Jacques Goldman – Je marche seul

Jean-Jacques Goldman – Elle a fait un bébé toute seule

Jean-Jacques Goldman – Là-bas

Carole Fredericks, Jean-Jacques Goldman & Michael Jones

Carole Fredericks, Jean-Jacques Goldman & Michael Jones – Rouge

Carole Fredericks, Jean-Jacques Goldman & Michael Jones – Veiller tard – Extrait du concert « Du New Morning au Zénith »

Carole Fredericks, Jean-Jacques Goldman & Michael Jones –  Quelque chose de bizarre – Extrait du concert « Du New Morning au Zénith »

Carole Fredericks, Jean-Jacques Goldman & Michael Jones – Jeanine médicament blues – Extrait du concert « Du New Morning au Zénith »

Carole Fredericks, Jean-Jacques Goldman & Michael Jones –  Il y a – Extrait du concert « Du New Morning au Zénith »

Carole Fredericks, Jean-Jcaques Goldman & Michael Jones –  Petit blues peinard – Extrait du concert « Du New Morning au Zénith »

Carole Fredericks, Jean-Jacques Goldman & Michael Jones – C’est pas d’l’amour  – Extrait du concert « Du New Morning au Zénith »

Carole Fredericks, Jean-Jacques Goldman & Michael Jones – Un, deux, trois – Extrait du concert « Du New Morning au Zénith »

Carole Fredericks, Jean-Jacques Goldman & Michael Jones –  Pas toi – Extrait du concert « Du New Morning au Zénith »

Carole Fredericks, Jean-Jacques Goldman & Michael Jones –  Knock on wood – Extrait du concert « Du New Morning au Zénith »

Carole Fredericks, Jean-Jacques Goldman & Michael Jones – Tobacco road – Extrait du concert « Du New Morning au Zénith »

Jean-Jacques Goldman – En passant

Jean-Jacques Goldman – Ensemble – Extrait de l’album « Musicien pour les pieds »

Jean-Jacques Goldman – Et si l’on n’y peut rien – Extrait de l’album « Musicien pour les pieds »

Jean-Jacques Goldman – La pluie – Extrait de l’album « Musicien pour les pieds »

Jean-Jacques Goldman – Tournent les violons – Extrait de l’album « Musicien pour les pieds »

Jean-Jacques Goldman – Si je ne t’avais pas – Extrait de l’album « Musicien pour les pieds »

Jean-Jacques Goldman – Je voudrais vous revoir – Extrait de l’album « Musicien pour les pieds »

Jean-Jacques Goldman – Les choses – Extrait de l’album « Musicien pour les pieds »

Carole Fredericks – Brother (générique de fin du film) « L’Union sacrée » – Bande originale composée par Jean-Jacques Goldman

Interprétation de Ray Charles d’une chanson de la bande originale du film « Pacific Palissades » composée par Jean-Jacques Goldman

Générique de «Taratata » composé par Jean-Jacques Goldman

Jean-Jacques, Partick Bruel, Palscal Obispo et Michaël Youn dans une improvisation pour le spectacle des enfoirés en 2016

Jean-Jacques Goldman – « Les vendanges du cœur » à Ouveillan