Dans ce cadre des petites histoires de l’été, voici quelques élucubrations de mon cru !
Dame ! Les histoires ne sont plus ce qu’elles étaient…
L’histoire était fin prête, tout le monde était en place. Le roi lissait sa barbe blanche et astiquait sa couronne.
Sa fille, la princesse, mettait une dernière touche à son maquillage, sans se douter, la pauvre, que le dragon allait l’enlever dans un quart d’heure.
Le dragon, qui savait bien, lui, ce qu’il préparait, réglait son lance-flammes électronique.
À quelques pas de là, un petit jeune homme timide sautillait sur place en balançant les bras. C’était le chevalier « sans peur et sans reproche », comme l’aurait dit Bayard. Il se porterait volontaire pour sauver la princesse. Mais d’abord, il devait rendre service à la vieille femme qui ramassait du bois.
En fait, la vieille femme était une fée. Elle était justement en train de revêtir son costume et de répéter une dernière fois son texte.
Au milieu de son fagot, elle avait caché l’épée magique qu’elle devait donner au chevalier pour qu’il puisse tuer le dragon. Futée la fée…
Après, il pourrait épouser la princesse et, si tout se passait bien, dans le meilleur des mondes, et ils auraient beaucoup d’enfants.
Bref, tout était prêt, on pouvait commencer :
« Il était une fois … »
Mais où est donc le roi ? Impossible de le retrouver. Tant pis, on dira que la princesse est orpheline. Ça ne l’empêchera pas d’être enlevée par le dragon. Et elle épousera le chevalier sans rien ne demander à personne.
On appelle la princesse. Elle ne répond pas.
On appelle encore, par haut-parleur cette fois. Toujours rien !
Cela commence mal et c’est quand même fort embêtant…
Il faut bien que le dragon enlève quelqu’un. Il ne peut pas enlever la vieille femme, puisque c’est une fée et qu’elle a une épée magique cachée dans son fagot. Et s’il enlève le chevalier, ce n’est plus drôle du tout : la fée devra délivrer le jeune homme, et franchement, ce n’est pas l’affaire des femmes d’affronter les dragons, c’est l’affaire des hommes, comme l’aurait fait Saint Pol Aurélien dans mon île de Batz…
On n’a jamais vu ça dans les histoires.
On peut toujours imaginer que le chevalier va combattre le dragon comme ça, sans raison particulière, pour faire un peu de sport. Et puis, s’il gagne, il épousera la vieille, c’est-à-dire la fée. Elle aime sans doute les sportifs…
Oui, mais entre-temps, le dragon a fichu le camp.
Mais que vont faire le chevalier et la fée ?
Il n’y a qu’à les envoyer ramasser du bois. Ça pourra toujours servir.
Apparemment, le chevalier n’est pas d’accord, car il a disparu sans crier gare. Et la fée refuse de faire quelques tours de magie avec sa baguette et tout son attirail. Dommage, ça aurait occupé le public.
Finalement, de toute l’histoire, il ne reste qu’une épée. Une épée magique, paraît-il !…
On pourrait peut -être s’en servir comme coupe-papier, qu’en dites-vous ?
Bonjour Zaza, un conte agréable à lire tout droit sorti de ton imagination fertile, bravo. Bisous Bonne journée MTH
ça chauffe sous ta marmite 👍
Bonne journée ZaZA
Bravissimo
Bravo Zaza, j’ai adoré ton histoire, quelle imagination!
Bises du jour
Mireille du sablon
eh bien tu en à de l’ imagination
un beau conte
bonne journée , hier fut une belle journée , , ce matin on attend pour voir rires
bises ZAZA
Coucou zaza.
Quel imagination bravo pour ta petite histoire.
ce matin on sort les tongs bretonnes.
Bonne journée sur ton île.
Gros bisous
Bonjour Zaza.
Sympa ton histoire.
Merci pour tes visites.
Ce matin il fait beau et c’est sans doute le retour de la chaleur.
Voila un nouveau week-end qui arrive, je te le souhaite agréable.
Bisous de nous deux.
S’en servir comme coupe-papier ? Oui pourquoi pas ?
Quelle belle imagination !
Bisous ma Zaza et bon vendredi
bonjour, bravo ,bonne journée bisous
super, ahurisant ton conte, bravo Zaza bises
Bravo ! j’adore ton conte.
Bises et belle journée
Hier et l’avant hier le soleil nous chauffait la cafetière et puis dans la nuit le ciel à fait rouler de gros rochers. Les nuages pris de tremblement se sont lâchés et répandus sur la petite terre bretonne et aussi sur la petite mer. Au lever le soleil est resté sous la couette. Les nuages pleurait de grosses larmes.
Le train arrive amenant mes princesses oui mais voilà il boude et s’arrête à Redon.
Le repas mijote oui mais personne pour le déguster.
Dans le conte la bonne sorcière et son chat sont dubitatifs. Les cuisses de poulet ont un répit.
Les princesses arriveront elles à temps pour leurs faire un sort.
A suivre au prochain épisode.
Bon pas aussi réussi que celui de la Reine du déjantage. Mais on fait avec ce qu’on a.
Bisous ma belle et caresses à tes 4 pattes amitié à ton 2 pattes
super ton histoire bon Vendredi ,bises
Bonjour, une belle imagination pour défaire les contes de fées ! Bonne journée, bisous.
Ils déclarent tous forfait , la fée rie n’aura pas lieu oh quelle fée rosse attitude .
Bravo pour cette histoire Zaza
Bon vendredi
Bises
une histoire renversante Zaza belle imagination et le public applaudit bien fort
Bonjour Zaza,
c’est original et complètement déjanté. J’adore!
Bises.
Bonne soirée,
Mo
il est vrai que tu as beaucoup d’imagination, bravo….pour les clowns d’hier c’est surtout pour les dessins que je les ai mis, j’ai trouvé ces visages très beaux….passe une bien agréable journée
Allons bon ! si tous les protagonistes disparaissent, effectivement, que va devenir l’histoire ? Tu as trouvé : se servir de l’épée comme coupe papier !
J’ai beaucoup aimé.
Bonne soirée Zaza
Elle est bonne, celle-là, Zaza !!! Super !!! J’adore !!! Bonne soirée de ce samedi. Bises 😘