Au milieu des flots déchaînés
Le vent sème son indicible terreur
Le vent sème son indicible terreur
Hurlant comme le cri d’une bête éventrée
Sur l’immense toile verte d’un océan sans âge
Où de semblables vagues, depuis des siècles
Inlassablement, ont pétri son visage
Où de semblables vagues, depuis des siècles
Inlassablement, ont pétri son visage
Au point parfois, de faire naître la peur
A ces bateaux, qui, pourtant aguerris
A se frotter à de telles fureurs
A ces bateaux, qui, pourtant aguerris
A se frotter à de telles fureurs
Souvent, s’étonnent de scruter avidement l’horizon
Dans l’espoir de voir, avec davantage de raison
Apparaître une mer, soudain reconnaissable
A la richesse brodée de son beau blason.
Dans l’espoir de voir, avec davantage de raison
Apparaître une mer, soudain reconnaissable
A la richesse brodée de son beau blason.
ZZ Novembre 2009
Tempête…. la vie de ces marins ne vaut pas cher ballotés ainsi… malgré leur expérience, la mer est si dangereuse, tueuse… Très belle illustration pour un très beau poème… ;-) Bises de JB
Merci Jill.
Bisous
Très belle évocation de cette gravure sans âge.
Merci Thierry,
Bises et bon mardi.
La tempête …belle mais bien souvent dévastatrice !!
Bises Zaza
Rien n’arrête le vent et l’eau en bordure de littoral.
Bises et bon après midi
Bonjour Zaza !
Des mots sur une image
et bien écrits : c’est réussi !
Bonne journée !
Pierre
https://rotpier27.wordpress.com/
Merci Pierre.
Bises et bon mardi.