L’art de décaler les sons … !!!

Après un pont de 4 jours, vous êtes en forme ???

Je vous propose donc de contrepèteries. Les solutions vous seront proposées jeudi prochain. Allez, courage !

La starlette a un pull-over de satin.

La Venus de Milo.

Le bouffon se cache en haut de la tente.

Le cuisinier secoue les nouilles.

Le curé précis refuse le tennis.

Le général est arrivé à pied par la Chine.

Le jeune abbé craignait les rôdeurs hérétiques quand il allait à l’évêché.

Le jus de sapin apaise mon angine.

Le paysan regarde pousser les épis.

Le petit poucet ne craint pas les beaux ogres.

Le Pont-Neuf fait soixante pieds.

Le verger des muses.

Auteur/autrice : ZAZA-RAMBETTE

Une bête à corne née un 13 AVRIL 1952 Maman et Mère-Grand...! Vous trouverez ici : humour de bon matin, sagas historiques sur ma Bretagne, des contes et légendes, des nouvelles et poèmes, de très belles photographies de paysages et d’animaux, de la musique (une petite préférence pour la musique celte), des articles culturels, et de temps en temps quelques coups de gueules...! Tous droits réservés ©

16 réflexions sur « L’art de décaler les sons … !!! »

  1. Bonsoir Zaza,
    pas mal du tout , tu connais : il faudrait arriver à Bézier la veille !! lol
    quel beau métier, professeur !!
    je ne réponds pas aux tiennent pour les suivants …
    je verrai les réponses, j’en mets un quand même … le paysan regarde pisser les époux
    Bonne journée pour ce premier jour de semaine, bises

  2. Bonjour Zaza
    C’est rigolo de chercher et avec beaucoup de temps on y arrive mais faut de la patience !
    j’ai vu toutes les solutions sur le net parce-que je ne pourrai pas passer jeudi ….
    Bonne semaine, Bises

  3. Pas toujours évident….on verra les réponses..
    Un petit « coup de mou » sur le blog, c’est décevant de voir que aucun des visiteurs n’a pris la peine de passer sur l’autre blog malgré une indication claire….tu connais les 2 blogs, donc tu fais le lien….mais je me demande de plus en plus si les gens lisent les textes???
    On se rend compte qu’on pâtis de « l’immédiateté » des fléaux sociaux

    Bonne soirée

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