
Chapitre VI/ VIII
POUR MEMOIRE
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Chapitre II/VIII – CLIC
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Chapitre IV/VIII – CLIC
Chapitre V/VIII – CLIC
Ils déposèrent Roméo Frigo au poste de police du Chesnay, et Nestor termina seul la mission que lui avait confiée son ami.
Il ramena la prisonnière à extrader jusqu’au 36, et apprit la nouvelle au sujet du sergent Roméo Frigo à Quentin Gendarmerit, qui ne riait pas du tout !

– « Pas possible, » dit l’inspecteur principal.
– « Bien possible, au contraire… »
– « Mais écoute, mon vieux, c’est mon meilleur homme, ce sergent. »
– « N’empêche que les faits sont là. »
– « Et tu prétends qu’il est coupable ? »
– « Oui. »
– « Je ne puis le croire. »
Nestor lui rapporta fidèlement tout le dialogue entre Charlot Offrèzze et le sergent.
Gendarmerit hochait la tête.
– « Ce sont des preuves de circonstances, » dit-il.
– « Peut-être, mais les preuves matérielles existent bel et bien. L’identification, et le reste, mon pauvre vieux… »
Quentin Gendarmerit ne le croyait toujours pas.
– « Je le croirai quand je serai devant les faits avérés et vérifiés. »
Nestor prit son air pincé.

– « Fais ce que tu voudras, mais moi je te dis qu’à la lumière de l’investigation de ce matin, le sergent Roméo Frigo est le criminel ! »
– « C’est ton opinion, Nestor, et ce n’est pas la mienne… Je vais questionner Offrèzze… Il y a une question que vous avez tous deux, le sergent et toi, oublié de lui poser… »
– « Laquelle ? »
– « Tu vas voir. »
Il fit entrer Charlot Offrèzze, qui attendait dans le bureau d’à côté.
– « Offrèzze, » interrogea Quentin Gendarmerit, « Il y a une chose que je veux savoir… Que s’est-il passé qui prenne tant de temps, entre une heure du matin et six heures ? »
Pris par surprise par la question de l’inspecteur, Charlot Offrèzze balbutia :
– « J’ai tourné en rond… J’ai plusieurs fois refait le parcours du p’tit pont en suivant les traces de pneus, en repassant par la maison, jusqu’à ce que je tombe sur le cadavre de Charlotte ! »
Quentin Gendarmerit acquiesça de la tête.
– « Je comprends, » dit-il…
Il fit signe à Offrèzze de se retirer.
On avait ramené le sergent au 36.
– « Faites entrer le sergent Roméo Frigo, » demanda Gendarmerit.
Roméo Frigo entra. Il était pâle, et il avait les yeux hagards…

– « Inspecteur, » cria-t-il en apercevant Quentin Gendarmerie, « c’est un guet-apens. Je ne suis pas coupable. »
– « Admettez-vous, » répondit l’inspecteur, « connaître cette femme ? »
– « Je l’admets. Je la connaissais. Je l’avais vue quelques fois … »
– « Hier soir ? »
– « Non. »
Nestor sourit.
– « Et le rouge à lèvres sur le mouchoir, alors ? »
Le sergent eut un geste de découragement.
– « Il n’y avait pas que Charlotte Offrèzze, dans mes conquêtes féminines, mais c’est vrai, je connaissais Charlotte. En passant au Chesnay où elle demeurait, je l’avais vue sur le bord de la route, je me suis arrêté… »
– « Mais ce n’était pas vous l’amant régulier ? »
Le sergent eut un soupir lassé.
– « Vous ne me croirez peut-être pas, mais je suis certain qu’il n’y avait que moi pour Charlotte… »
– « Quoi ? »
– « Charlotte Offrèzze était une femme trompée… »
– « Ah ? »
– « Et elle flirtait comme ça, par dépit, mais le jeu lui déplaisait ! »
– « Tiens, tiens… »
Le sergent se pencha en avant et souffla.
– « Charlot Offrèzze est un être d’une ruse rarement égalée… Je vous conseille, si vous ne voulez pas faire accuser un innocent, d’aller jusqu’au fond de cette affaire. »
Nestor soupira.
– « Sergent, toutes les preuves sont contre vous… Où étiez-vous hier soir ? »
– « Je vous le dirai s’il le faut. Je voudrais, si c’est possible, garder cette information en dernier recours, c’est un secret ! »
– « Cela vous honore. » Répondit Nestor.
– « Je ne fais que ce qui est juste et bien… Allez au fond des choses, vous serez surpris ! »
Quentin Gendarmerit approuva, il semblait retrouver le sourire, mais pas encore franchement la grosse rigolade.
– « Nous irons au fond des choses. »
Quand le sergent regagna sa cellule, l’inspecteur principal dit à Nestor.
– « Est-ce que tu persistes à affirmer que cet homme est coupable ? »
Nestor hésita un moment.
– « Je ne sais pas, Quentin. Franchement je ne sais plus. Et pourtant, tout porte à croire que le sergent a tué la femme… Mais d’autre part… »
– « Le fait qu’il la connaissait ne signifie pas grand-chose… »
– « Mais il semblait connaître des détails du crime… Et il refusait de croire à la culpabilité de Charlot Offrèzze… »
– « C’est peut-être une apparence. Roméo Frigo est très intelligent… »
Et l’inspecteur ajouta :
– « Mais Charlot Offrèzze est vingt fois plus renard que lui. »
A suivre…
Il pleut !
Ah les doutes sur une personne qu’on ne peut croire coupable, et d’autres si rusées qu’on donnerait le bon dieu sans confession, on dimanche Zaza ! Bises
Bonjour Zaza.
Ce matin, c’est tristounet.
Il pleut,et les montagnes environnantes sont blanches.
Chez nous c’est souvent comme ça pour la Toussaint.
Bon week-end de la Toussaint.
Bisous de nous deux.
Dans la fiction c’est comme dans la réalité
Il faut se la jouer magicien pour trouver le bon coupable et surtout de bons avocats
Merci ZaZa
Bib bisous
Dans ma pause, je suis venue lire la suite!! Pas facile de trouver le bon coupable.
Le temps est bien gris chez moi aujourd’hui!!
Très belle journée et bonne semaine.
à bientôt
bisous
..l’ami Nestor a bien du mal à convaincre , l’histoire se prolonge…
Bises du jour
Mireille du Sablon
Bonjour Zaza
Toujours pas suffisamment de preuves, l’enquête se poursuit ….
Quentin Gendarmerit ….. un gendarme qui ne rit pas ! :)
Merci pour cette suite
Bises, bon dimanche
Les apparences sont souvent trompeuses ….
J’aime bien les noms de tes personnages . Bonne journée
On est sur des charbons ardents, le sergent est-il vraiment coupable ??? ou bien Charlot veut le peiéger parce qu’il aimait sa bonne femme ?
Bises et belle journée
Ah Nestor commence à avoir des doutes , il est vrai que Quentin Gendarmerit semble vraiment sur de son sergent .
Je suis curieuse de connaitre la suite .
Bon dimanche Zaza
Bises
coucou Zaza surtout qu’il ne faut pas faire d’erreur judiciaire , il avait annoncé de la pluie et bien nous avons un soleil magnifique ,j’en ai profiter pour faire des photos, je te souhaite un très bon Dimanche, bises
wouah pour un sac de neouds, c’est un sac de noeuds !! Nestor ne serait pas infaillible ? ? bonne soiree Zaza bises
Hi,hi, ça se corse cette affaire ! Quelle imagination débordante !
Un sacré sac de nœuds !!
Bisous du dimanche ma Zaza
Quentin Gendarmerit mettra-t-il Nestor en difficulté
Le célèbre défectif ira-t-il à la faute de preuve
Vous le saurez si vous revenez dimanche prochain
Bonne soirée ma belle amie
Bisous et caresses
Quya dort dans son panier sur le palier depuis midi. Elle sort sous la pluie et reste au chaud avec le soleil mais sous le vent.
Bonsoir
Nestor a renifler quelque chose
Il vat trouver c est un bon limier
Bonne soirée d Halloween
Kenavo Zaza
Eh bien, encore des nœuds à défaire, hein, Zaza ! À la prochaine ! Bises 😘
je dirai que c’est plus facile de monter un scénario, que voir la réalité de nos jours, où tout se dit, se contredit etc…..pour cet hôtel insolite, c’est ce que ma petite sœur nous a offert pour noël 2019, il était temps que l’on se prenne tous les deux par la main pour trouver de l’insolite…..passe une bien douce journée
Bonjour Zaza
Et bien ça se complique on dirait pour Nestor ..
A suivre bien sur
Bises Zaza
Trop bien! Tu sais que j’ai lu depuis le début et ce malgré mon réseau, je me connecte dès que je peux et c’est aussi un sac de noeuds… Sourires!
Tu nous ferres avec plein de situations à suspense, bravo ma Zaza, gros bisous et amitiés sans oublier ton Poux Ronchon!
Cendrine
cela nous fait tourner en bourrique ; il faut bien sûr arrêter l’assassin. Bises